Catégorie : PRESSE

Action caritative

Saint-Gilles.Solidarité pour une élève

Publié le 01 juin 2018


 


Noëlle Gauchet (à droite), directrice de l’école Saint-Gilles, remettant à Maëlyss un chèque de 970 € pour l’association Unsed.

 
  À chaque Vendredi Saint, l’école Saint-Gilles choisit une association et mène une action à son bénéfice. Cette année, le 19 avril, la direction de l’école a décidé de faire un repas solidaire au profit d’une des élèves de l’école. La petite Maëlyss, âgée de 7 ans, malgré son immense sourire et sa joie de vivre, est atteinte du syndrome d’Ehlers-Danlos, maladie dont souffre aussi sa maman. Ce syndrome a de multiples facettes et peut parfois s’apparenter à d’autres maladies. Une peau très fine et transparente, des troubles de la vue, des hématomes qui apparaissent très vite et, plus grave, les fonctions pulmonaires, moteur et vasculaires peuvent être à terme touchées.

   Un bébé sur 5.000 est porteur de ce syndrome héréditaire. « Aujourd’hui, Maëlyss suit une scolarité tout à fait normale mais il faut faire attention à tout », confie Élodie Paugam, la maman, qui rajoute : « Je fais des courses à pied pour faire connaître la maladie et l’association Unsed qui nous soutient. Dans quelque temps, je ne pourrais plus marcher, c’est aujourd’hui qu’il faut que je le fasse ». Émue par ce courage, la directrice, Noëlle Gauchet, a remis ce lundi un chèque de 970 €, correspondant à la recette de la cantine de ce Vendredi Saint.
 


http://www.letelegramme.fr/morbihan/hennebont/ecole-saint-gilles-solidarite-pour-une-eleve-01-06-2018-11978547.php

Patrimoine: l’église Saint Gilles (Tél. 9 juin)

Saint-Gilles. L’église révèle ses secrets

Publié le 09 juin 2018


 


Ils ont été une quarantaine à avoir répondu à l’invitation du service Valorisation du patrimoine, et à participer à la soirée consacrée à la charpente de l’église de Saint-Gilles.

 
Durant deux heures, grâce à un exposé abondamment documenté par l’intervenant Corentin Olivier, archéologue du bâtiment, qui a présenté les résultats de son étude, l’église de Saint-Gilles a révélé des secrets. De belles surprises de datation avec la charpente

 De belles surprises de datation avec la charpente 

Très didactique, il a expliqué les différents types de structures de charpente des édifices religieux, les outils utilisés, les décors, en faisant toujours le lien, si possible, avec l’édifice hennebontais, où il y a des présomptions que la charpente de la nef ait été peinte. Mais le clou de cette soirée a été la datation d’éléments de charpente, apparents à l’origine de Notre-Dame-des-Champs, à Saint-Gilles. Si l’église, qui a une charpente dite armoricaine, se compose de différentes époques (XVIe et XVIIIe siècles), la partie la plus ancienne dans la nef daterait de la deuxième partie du XIVe siècle : 1350-1370 ! « C’est exceptionnel, très intéressant et une réelle surprise. On pensait éventuellement au XVe siècle, mais certainement pas si tôt », indique Pierre-Laurent Constantin, agent du service Valorisation du patrimoine, qui a restitué cette datation dans le contexte historique. « On était en pleine guerre de succession de Bretagne. Cette charpente a donc été posée huit ans à peine après les grands sièges de la Ville Close ». Autre révélation de cette étude : la charpente du transept nord a été réalisée entre 1507 et 1537, et le choeur vers 1514-1544 « dans la lignée, donc, de la construction de la basilique Notre-Dame-de-Paradis ». De quoi ouvrir de nouvelles perspectives de travail et de recherches.
 


http://www.letelegramme.fr/morbihan/hennebont/saint-gilles-l-eglise-revele-ses-secrets-09-06-2018-11987928.php

Langue des signes et hip hop pour les CM1-CM2 monolingue

Hennebont. La langue des signes et hip-hop s’accordent à Saint-Gilles

Publié le 6 / 2 / 2018 – Ouest France 

Fadil Kasri, de la Cie lorientaise Eskemm,
dit ici « Etre zen », en langage des signes.
Avec la compagnie lorientaise Eskemm, les élèves de CM1-CM2 de Saint-Gilles conjuguent des phrases dansées et signées avec bonheur. Ils préparent même un spectacle de hip-hop.
Dans la grande salle de la maison de quartier de Saint-Gilles, la classe de CM1-CM2 monolingue est en plein travail.


Face à l’objectif, chacun a choisi un signe.

    Lundi après-midi, c’est leur quatrième séance sur les six que comporte cette initiation au langage des signes. Ici, rien de statique. En un ballet bien réglé, les écoliers vont et viennent, traversent la salle pour aller vers l’autre et lui exprimer un signe. Et puis, soudain, tous s’allongent et se relèvent, les yeux fermés, en une gestuelle très lente. Car on n’est pas vraiment dans un apprentissage classique de la langue des signes, telle qu’elle est enseignée pour communiquer avec les personnes malentendantes. « Ce sont des phrases dansées, explique Valérie Michel, l’enseignante. L’expression corporelle est un excellent outil ludique. Sur le thème du rêve, nous montons un spectacle hip-hop. »

Croiser signes et expression artistique

Pour réaliser le projet, l’école privée de Saint-Gilles a fait appel à la compagnie lorientaise Eskemm (en breton, « échange »). La compagnie Eskemm, c’est la rencontre, en 2003, entre Fadil Kasri, chorégraphe et danseur hip-hop, et Karine Le Bris, chorégraphe et danseuse contemporaine. La démarche des deux chorégraphes s’élargit très vite à toutes formes de croisements artistiques : musique, arts plastiques, textes, marionnettes…



Exercice en face à face.

À Saint-Gilles, le croisement se fait entre le signe et l’expression corporelle. Pendant deux heures, guidés par Fadil Kasri, les écoliers, se prêtent au jeu.

Le Télégramme 3/2/18

École de Saint-Gilles. Les élèves bilingues de Saint Félix en visite à l’école

Publié le 03/02/2018

Les collégiens bilingues de Saint-Félix sont allés, vendredi 26 février, à la rencontre des écoliers de Saint-Gilles.

Les collégiens bilingues de Saint-Félix d’Hennebont sont allés, vendredi 26 février, à la rencontre des écoliers de Saint-Gilles pour un après-midi d’échange et de convivialité. Après avoir visionné un diaporama présentant le collège, les élèves ont présenté des pièces de théâtre et des sketchs en breton qu’ils avaient préparés.

La présentation de la filière


Les collégiens ont profité de cet après-midi pour présenter leur parcours dans la filière bilingue et expliquer aux écoliers leur choix de poursuivre dans cette filière. L’enseignement de la langue bretonne est un des chantiers importants pour assurer la pérennisation et la diffusion de la langue bretonne dans l’avenir. Dans ce contexte, l’enseignement catholique de Bretagne propose des filières d’enseignement bilingue français breton qui offrent la possibilité de commencer l’apprentissage du breton comme option pour les débutants dès leur entrée au collège. « Actuellement en plein essor, la filière bretonne du collège Saint-Félix permet chaque année aux jeunes bretonnants qui le souhaitent de poursuivre leur scolarité en breton jusqu’en classe de troisième », explique Mikaël Messina, professeur

 

CLASSE DE CP-CE1 BILINGUE

Le premier café breton

École Saint-Gilles. Le premier « Café breton »

Les 22 élèves de la classe bilingue CM1-CM2 de l’école de Saint-Gilles étaient fiers de présenter à leurs parents dessins et souvenirs de leur séjour à Groix, vendredi soir, dans leur classe.
Les élèves de la classe bilingue CM1-CM2 de l’école de Saint-Gilles et leur enseignante Gwenaëlle Le Sommer-Le Mentec ont invité les parents à un « Café breton », vendredi, après la journée de classe. Au programme : un moment convivial pour discuter autour du récent séjour des enfants à Groix. Les parents ont ainsi pu découvrir les dessins réalisés par leurs enfants (l’entrée du port de Groix à la façon de Gilles Mével) avant d’assister à la diffusion d’un diaporama retraçant les deux jours de l’escapade groisillonne. « Ce café-breton est le premier que nous organisons en lien avec l’association de parents Dihun. C’est un moment de partage que nous proposerons avant les vacances scolaires. Le prochain, en décembre, sera l’occasion de présenter la chorale que nous mettons en place avec les enfants et les résidants de l’Ehpad Sainte-Marie du Bouetiez », a expliqué l’enseignante.

Le premier “Café breton” – CM bilngues

Archives de presse 2016-2017

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